Répartition de la truite fario en Côte d'or.

Pour info : On observe la présence de belles populations de truite fario sur les cours d'eau du Châtillonnais (Laigne, Seine, Ource et Aube) sur l'Ignon et les Tilles amont, sur la Bèze et sur quelques secteurs amont de l'Ouche (affluents en particulier).
Ailleurs, Salmo Trutta est présente de façon ponctuelle mais avec de bons potentiels sur le Morvan (Tournesac, Romanée et Vernidard), sur les affuents de la Dheune dans la partie apicales et dans une moindre mesure sur quelques localités de la Cent Fond (bassin de la Vouge).
A bon(s) entendeur(s)...

Truite fario de Seine.

Ce matin, malgré des conditions météo désastreuses, voici quelques photos de mes deux heures en Seine.
La pêche était dure ! Vent, pluie, eau froide et claire... Les truites ont assez bien réagies aux vairons, malheureusement beaucoup de suivis et de poissons qui sortent de leurs caches énervés et qui tapent à peine dans le vairon. Sur une dizaine de poissons que j'ai fait bouger, seuls 4 on tapés franchement et ce sont laissés prendre.
A bon(s) entendeur(s)...

L'appétit des truites.

Les salmonidés et en particulier les truites sont ultra réceptives aux conditions météorologiques quand elles désirent aller chercher leur nourriture.
Si cette règle est valable toute l'année, elle est encore bien plus recevable au début de la saison, quand il fait froid et qu'il faut une sacrée volonté pour sortir et chasser des vairons par exemple.
Par temps froid, la règle est donc d'attendre la mi-journée et de chercher les belles mouchetées dans les zones au soleil. Les truites profitent de cette légère luminosité supplémentaire pour voir mieux, notamment si l'eau est trouble, mais aussi se "réchauffer" légèrement. Les amortis sont donc des zones qui deviennent largement fréquentées, tout comme les lisses lents et peu profonds.
Attention, dans ce contexte, les truites y voient clair et de loin, il est donc préférable de les "attaquer" à bonne distance et de présenter "proprement" afin d'enregister de belles attaques.
En photo, les deux plus gros fish de notre dernière session avec l'ami Nico (Carnamania).
A bon(s) entendeu(s)...

Petit truc : Comment éviter les décrochages avec de gros jerkbaits.

Quand l'on pêche aux jerkbaits rien n'est plus frustrant que de perdre un gros brochet en plein combat ou pire, au bateau ou dans ses bottes...
Ceux-ci ont tendance à tourner sur eux-mêmes et à secouer la tête pour se débarrasser du leurre. Ces mouvements permettent aux poissons de prendre appui sur le leurre pour se décrocher.
Pour minimiser grandement ce risque, il suffit de doubler ces anneaux brisés, ce qui donne beaucoup plus de mouvement au triple et l'empêche de se bloquer.
A bon(s) entendeur(s)...

Arc en ciel vs Vairons.

Parmi toutes les techniques de la pêche de la truite, il y en a une qui ne vous décevra jamais pour peu qu’elle soit bien appliquée, c’est la pêche au vairon manié.
Cette méthode a l’art et la manière d'ennuyer et de rendre folles nos chères truites "surdensitaires".
A bon(s) entendeur(s)...

Petit, petit... T'es où ?

Ce matin, je suis parti en repérage près de chez moi, j'ai plus marché que pêcher.
Mais j'ai quand même touché une jolie petite perche qui avait bien la dalle.
Le future menu du jour...
A bon(s) entendeur(s)...

Une ouverture de saison 2015 réussie.

Espérée et attendue, cette ouverture en 1ére catégorie a été parfaite...
Un décor de rêve ou l'on s'attend à chaque instant à croiser un elf, des potes, de la gamelle, du soleil et des pépites de Seine au rentez-vous, que demander de plus ?

En vrac, quelques photos de cette belle journée.
A bon(s) entendeur(s)...

 

 

Le Dinghy Derby ou comment s’élancer à 2 à plus de 100 km/h sur une petite coque alu !

Voici un sport nautique originaire d'Australie dont on parle peu : Le Dinghy Derby !
Cette discipline a été crée en 1981 lors d’un pari entre amis, pour savoir lequel serait le plus rapide à bord de son petit bateau de course surboosté construit avec des moteurs de hors-bord ayant la puissance de 30 chevaux, ces petits canots ont été spécialement conçus pour naviguer à grande vitesse (100 km/h) sur des petites rivières et marécage.
Le concept est simple, pour faire une course il faut être deux par embarcation : un pilote et un co-pilote servant de contrepoids dans les virages les plus serrés.
Lorsque l'on voit la vidéo ci-dessous, on comprend bien que la discipline est dangereuse… Mais je ne sais pas pourquoi, mais moi j'adore ce kiffe !

Bon visionnage...